la sécurité est l affaire de tous
Pourquoila sécurité sur Internet est l’affaire de tous . Chronique de Mark Papermaster AMD Mis à jour le 21/10/13 12:16. Twitter; LinkedIn; Facebook; Whatsapp; Email; La cybercriminalité
Parceque, comme l’a souligné le maire, Xavier Melki : « La sécurité et la prévention de la délinquance relèvent de la responsabilité collective, c’est l’affaire de tous ». Augmentation des effectifs : En 2015 : 13 agents + 8 ASVP. En 2016 : 15 agents + 8 ASVP. En 2017 : 19 agents + 6 ASVP. En 2018 : 23 agents + 6 ASVP
Lepréfet de l’Aisne échange avec des lecteurs de L’Union : «La sécurité est l’affaire de tous» Mis en ligne le 17/01/2020 à 18:40 Par Philippe Robin
Lejour de l’inspection de la Communauté des brigades de gendarmerie est toujours un moment privilégié, qui permet de renouer les contacts avec l’ensemble des élus du territoire. Et c
Isère“Alerte à Pont-de-Claix” : la sécurité est l'affaire de tous Par Josiane MOREL - 17 oct. 2021 à 17:37 | mis à jour le 17 oct. 2021 à 17:47 - Temps de lecture :
nonton film us x her sub indo. Publié le 03/11/2017 à 1006, Mis à jour le 03/11/2017 à 1102 Après la tour Eiffel avant hier, le premier ministre Édouard Philippe s'est rendu à la gare du Nord à Paris aujourd'hui pour rassurer les Français deux jours après que la loi antiterroriste a remplacé l'état d'urgence et rappeler que "la sécurité est l'affaire de tous"."Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste élevé", a déclaré Édouard Philippe entouré, du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelé après avoir rencontré les policiers, gendarmes, agents de la sûreté de la SNCF et de la RATP."Les défis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opérateurs sont extrêmement mobilisés pour mettre des moyens humains supplémentaires, vérifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des réponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delà des moyens humains et juridiques, et au delà même des moyens matériels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront répondre au défi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assuré le Premier ministre.» Lire aussi - À la Tour Eiffel, Édouard Philippe défend la sortie de l'état d'urgence
Sécurité/vigilance Publié le 08/01/19 et mis à jour le 11/04/22 Il est le garant d’un cadre de vie plus sécurisé. Retour sur le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance qui s’est tenu le vendredi 9 novembre en salle du Conseil municipal. Trente personnes ont pris part au dernier Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance CLSPD qui s’est déroulé le vendredi 9 novembre. Chaque année, cette séance plénière réunit les acteurs de la prévention et de la lutte contre la délinquance et permet de faire le bilan des avancées en la matière. Présidé par le Maire, le CLSPD est une instance de pilotage et de concertation entre institutions et organismes publics et privés qui permet d’affiner la stratégie mise en place pour améliorer le cadre de vie de la commune en identifiant les différents phénomènes d’insécurité dans les transports, les établissements scolaires et dans l’habitat social. Ce dernier CLSPD a ainsi rassemblé la Vice-Procureur de la République au Parquet de Pontoise, la Commissaire de Police d’Ermont, les renseignements territoriaux, le Sous-Préfet d’Argenteuil, les bailleurs sociaux Domaxis, Batigère en IDF ex SOVAL, Val-d’Oise Habitat, Erilia et Osica, les chefs d’établissements scolaires, les cars Lacroix, la Mission locale de Val Parisis ou encore les élus Patrick Boullé, Jean-Hubert Montout, Sandrine Le Moing et Monique Mavel-Maquenhem. Pour la première fois cette année, l’institution Jeanne-d’Arc y était représentée. La sécurité est une priorité sur Franconville, c’est l’une des premières villes à avoir développé la vidéoprotection », a rappelé Patrick Boullé, maire-adjoint. Pour rappel, le parc vidéo de Franconville compte actuellement 39 caméras. Cette réunion annuelle est nécessaire et je félicite Franconville, précurseur en matière de prévention de la délinquance, pour la collaboration qui s’y fait à tous les niveaux et pour l’image d’unité que cela renvoie », appuie Philippe Malizard, Sous-préfet d’Argenteuil. Depuis 2015, la ville a pris des mesures fortes pour anticiper les nouveaux phénomènes de délinquance et les endiguer augmentation des effectifs voir encadré, armement de la Police Municipale en catégorie B1, augmentation de l’amplitude horaire des patrouilles municipales, création de la brigade motorisée en mai 2017 puis de la brigade équestre en mai 2018, renforcement de la collaboration entre la Police Nationale et la Police Municipale. Nous avons multiplié ces deux dernières années nos modes de déplacements pour améliorer la mobilité des agents dans le cadre de nos actions de prévention et également faciliter les interpellations, explique Patrick Boullé. Prévention, proximité et répression » La brigade équestre, au-delà de pouvoir aller partout, est un vecteur de communication avec la population. Elle permet de lutter contre les atteintes aux biens et de renforcer la sécurité aux abords des groupes scolaires. Nous sommes une vraie police de proximité au quotidien et luttons contre tous les sentiments d’insécurité. Nos trois mots d’ordre à Franconville sont prévention, proximité et répression. » Depuis 2014, le nombre de cambriolages a baissé sur la circonscription. La brigade motorisée mise en place en 2017 a, par ailleurs, permis de mettre fin aux rodéos sauvages. Le chef de la Police Municipale a également annoncé le renouvellement complet du système de vidéoprotection. Les caméras datent de 2011. Il est nécessaire que nous nous dotions de caméras dernière génération pour suivre au mieux les faits de délinquance. » En parallèle du CLSPD, la municipalité met régulièrement des groupes de travail en place afin de répondre aux attentes sécuritaires de chaque quartier et des différents partenaires. Des mesures ont également été prises dans les transports routiers STIF-LACROIX médiation, actions de sensibilisation, contrôles/verbalisation de la fraude, prévention situationnelle. De même dans les transports ferroviaires SNCF identification des groupes de perturbateurs, renforcement des opérations de contrôle par les différents services de police, mise en place d’un arrêté municipal anti-attroupement. Des actions de prévention sont proposées chaque année dans les écoles et les bailleurs sociaux travaillent en partenariat avec les services de Police et la Politique de la ville. Parce que, comme l’a souligné le maire, Xavier Melki La sécurité et la prévention de la délinquance relèvent de la responsabilité collective, c’est l’affaire de tous ». Augmentation des effectifs En 2015 13 agents + 8 ASVP En 2016 15 agents + 8 ASVP En 2017 19 agents + 6 ASVP En 2018 23 agents + 6 ASVP Prévision 2019 25 agents + 6 ASVP Le CSU inauguré Le Centre de Supervision Urbain CSU qui avait été transféré administrativement vers l’agglomération Val Parisis en 2015 a déménagé le 23 novembre au niveau de l’ancien site d’Arline où siège également la Police Mutualisée intercommunale. Pour rappel, le parc vidéo de Franconville compte actuellement 39 caméras. Un renouvellement des caméras nomades a été opéré l’année dernière et le parc des caméras fixes sera progressivement remplacé afin d’acquérir peu à peu des caméras de dernière génération. En 2019, vingt caméras supplémentaires vont être installées et un réajustement d’implantation sera alors envisagé en fonction des retours d’expériences. Le CSU est unique sur le territoire et permettra le visionnage de l’ensemble des caméras déployées dans les quinze communes de Val Parisis. Au total, près de 400 caméras seront installées sur l’ensemble du périmètre d’ici 2019, réparties sur des sites déterminés au préalable avec les acteurs de la sécurité par exemple aux abords des gares, des établissements scolaires et des commerces, dans les centres villes et les quartiers sensibles.
Des Citoyens agressés à coups de couteau, de marteau, de barre de fer, à Paris et dans plusieurs autres villes de France. Des patrouilles de Sentinelle qui subissent des attaques verbales ou physiques, la dernière en date à la voiture bélier. Fait tout aussi grave, une voiture qui réussit à s’introduire sur les pistes d’un aéroport. Sur ce dernier cas, on ne peut que s’interroger comment le conducteur n’a pas été arrêté plus tôt alors que par deux fois il a pris deux autoroutes en sens inverse de circulation » ? La facilité avec laquelle il est entrée sur l’aéroport doit nous interroger, tout comme doit nous interroger la difficulté rencontrée par la Gendarmerie Nationale, les Douanes et la Police Nationale a l’interpeller comme le montre les vidéos diffusées dans les médias. Mais ce qui nous pousse le plus à nous interroger ce sont la multiplication de ces attaques et la rapidité avec laquelle l’exécutif nous dit ” pas d’amalgame” et met la piste du déséquilibré en avant quasi systématiquement. Il nous faut donc réfléchir différemment et adapter nos réponses à ce qui se trouve être pour l’instant non plus des attaques suicides de masse mais des actions de loups » solitaires en lien ou non avec DAESH. Le renforcement des Forces de l’Ordre, l’armement généralisé des Polices Municipales ainsi qu’une extension en la matière pour la Sécurité Privé et certains citoyens sont une des priorités d’action immédiate. Il faut aussi, à côté de cela, que les Citoyens se responsabilisent pour être en mesure d’appliquer la loi* lorsque la situation l’exige. La vérité en matière de sécurité n’est plus dans l’ancien temps ». Grégory Baudouin Délégué national à la Sécurité et à la Défense *Article 122-7 du Code pénal traitant de l’état de nécessité, articles 122-5 et 122-6 du Code pénal traitant de la légitime défense, articles 223-5/6/7 du Code pénal relatifs à la non-assistance, articles 53 et 73 du Code de procédure pénale faisant référence au flagrant délit ou à l’interpellation.
La Ville de Courseulles-sur-Mer et la Police municipale, en collaboration avec la Gendarmerie, lance une campagne de sensibilisation pour les cyclistes et utilisateurs de trottinette, skateboard, overboard ou rollers La Sécurité, c’est l’affaire de tous ! Le but faire comprendre que pour la sécurité de chacun, il est important de respecter le code de la route en toutes circonstances. Et sur la digue aussi ! Les vélos, trottinettes, rollers, skateboards et overboards sont interdits sur la digue tous les week-ends et jours fériés toute l’année et du 1er juin au 30 septembre inclus, sauf pour les enfants de moins de 8 ans et les services de sécurité. Nous avons pris cette mesure pour garantir la sécurité des piétons. Avec l’affluence l’été et les week-ends sur notre digue, les vélos ou tout engin roulant deviennent un danger pour les piétons » précise Francis Nicaise, maire-adjoint en charge de la sécurité. Ce mardi 13 juillet, de 16h à 18h30, 4 agents de la police municipale et 9 gendarmes étaient sur le terrain, notamment rue de la mer, à proximité du camping, place du marché et sur la digue, pour faire de la prévention et expliquer les règles aux locaux et vacanciers qui roulent de plus en plus en mobilité douce. Nous en profitons pour leur rappeler que toutes infractions à un coût et que nous ne pourrons pas toujours faire du préventif » explique Steve Houssaye, brigadier-chef principal à la police municipale de Courseulles-sur-Mer. Pendant ces journées de sensibilisation, nous donnons un dépliant avec les montants des amendes en fonction des infractions commises. Cela permet de faire une piqûre de rappel à chacun ». Une autre date d’opération de sensibilisation sera proposée le mardi 3 août. Article publié le vendredi 16 juillet 2021
Body Afin de développer en interne une culture de la santé et de la sécurité, le groupe coopératif Axéréal implique aujourd’hui l’ensemble de ses équipes dans une ambitieuse stratégie de prévention des accidents professionnels. Des silos de grains aux moulins, des usines de production d’aliments pour animaux aux malteries, c’est l’ensemble des entités d’Axéréal qui font aujourd’hui de la protection des salariés et des parties prenantes adhérents, clients… une priorité. Assurer la sécurité des femmes et des hommes qui travaillent au sein d’Axéréal est un prérequis pour l’ensemble de nos activités, affirme Romain Gallas, administrateur Axéréal. C’est pour cela que nous cherchons être proactifs sur le sujet ». Pour porter une telle ambition, une politique sécurité notamment a été mise en place il y a trois ans. Impulsée par la Direction, elle a permis de placer le sujet au rang des priorités stratégiques d’Axéréal. Un vrai élan a été donné », confirme Sébastien Richomme, responsable sécurité du pôle Agriculture & Filières. La sécurité est réellement l’affaire de tous, et l’élan porté se retrouve donc à tous les niveaux du groupe coopératif. Des points sur la sécurité sont par exemple régulièrement réalisés lors des comités de direction. Un comité sécurité réunit par d’ailleurs une fois par mois les directeurs de chaque Business Unit BU du pôle Agriculture & Filières chaîne du grain, meunerie, élevage. Cela permet des échanges constructifs sur les difficultés rencontrées, les démarches de progrès à mener… », poursuit Sébastien Richomme. Un partage des bonnes pratiques peut également être réalisé. Une dynamique proactive que l’on retrouve également chez Boortmalt, activité malt du groupe Axéréal. Chaque accident est évitable » La question de la sécurité est abordée au quotidien sur le terrain, grâce à un important travail de communication. Des animateurs sécurité terrain sont là pour aider les managers de proximité à avancer sur le sujet. Nous devons convaincre 100 % de nos collaborateurs que la sécurité est un prérequis à toute action. Il faut qu’ils aient conscience de l’importance de cette question et aient envie de se protéger », explique Sébastien Richomme. Pour accompagner la démarche, différentes initiatives ont été prises. C’est le cas par exemple de rituels comme les 5 minutes sécurité ». Plusieurs fois par semaine, les responsables locaux présentent le travail du jour à leurs équipes, les risques qui y sont liés et les moyens de s’en prémunir. Formations et sensibilisations sont par ailleurs régulièrement proposées pour permettre aux collaborateurs de développer les réflexes nécessaires à leur protection et celles des parties prenantes mesures de protection, signalement de toute situation à risque…. Des Rencontres sécurité terrain ont également été instituées pour améliorer les comportements du quotidien voir ci-dessous. La politique sécurité du groupe s’appuie sur un principe fondamental chaque accident est évitable. Pour preuve, l’expérience rappelle que la majorité de ces accidents sont imputables à l’organisation au comportement des personnes en présence. La communication portée par Axéréal met notamment l’accent sur les bonnes pratiques à adopter face à cinq risques majeurs les chutes de hauteur, les interventions en cellules, l’utilisation des engins de manutention chariots élévateurs…, les risques routiers et la question des troubles musculosquelettiques lombalgie, entorse…. En s’appuyant sur une sensibilisation au long cours des équipes mais aussi sur une analyse rigoureuse des incidents survenus, le groupe poursuit ainsi un objectif ambitieux le zéro accident. Des Rencontres sécurité terrain pour développer les bonnes pratiques De la farine au sol qui risque de faire glisser un collaborateur, un sac mal porté qui peut fragiliser le dos d’un salarié… Dans leur quotidien professionnel, les collaborateurs ne perçoivent pas toujours les risques induits par certaines situations. Tout l’objectif des Rencontres sécurité terrain est là détecter les comportements à risque, et réduire ainsi les accidents, en apportant un œil neuf sur des situations de travail. L’œil neuf, c’est celui porté par deux membres de l’encadrement qui vont étudier avec attention le travail d’un salarié, dans un esprit collaboratif et bienveillant. Après une dizaine de minutes d’observation, un dialogue constructif va se nouer sur le mode opératoire du collaborateur, afin de déterminer d’éventuelles pistes d’amélioration. Le port des EPI Equipements de protection individuelle a-t-il été respecté ? L’échelle utilisée était-elle la plus adaptée ? La zone de travail a-t-elle été nettoyée au bon moment ? Autant de points d’attention qui pourront être évoqués afin de faire progresser la sécurité sur le site et servir au plus grand nombre. Après avoir été lancées dans la branche Agriculture d’Axéréal, ces Rencontres ont été déployées au sein d’Axiane Meunerie en 2021. 200 collaborateurs de terrain bénéficient désormais deux fois par an d’une telle initiative, explique Laurent Gandouin, directeur industriel & supply chain chez Axiane Meunerie. 80 % de nos accidents sont liés à des chutes de plain-pied ou des ports de charge. Des bonnes pratiques peuvent permettre de les éviter. Nous disposons avec ces rencontres d’un bon moyen pour agir en ce sens ». Chaque rencontre permet aux collaborateurs de prendre quelques engagements simples pour faire progresser leur propre sécurité. La question des accidents est le plus souvent liée à une prise de conscience des risques », rappelle Laurent Gandouin. Dans le même temps, le manager peut relever quelques aménagements de postes à réaliser pour prévenir certains accidents, comme par exemple l’installation d’aspirateurs à chaque étage d’un bâtiment ou la mise en place de rangements dédiés aux outils du collaborateur ». Boortmalt une malterie construite sans aucun accident en Ethiopie Des réflexes de sécurité doivent être développés dans les actions du quotidien des collaborateurs du groupe. Mais il est également essentiel qu’ils soient adoptés dans le cadre de chantiers d’exception portés par la coopérative. C’est ce à quoi s’est attaché Boortmalt, le pôle malt international d’Axéréal, lors de la construction de sa première malterie africaine, en Ethiopie, entre 2018 et 2021. Située dans le parc industriel de Debre Birhan, cette unité de production a été édifiée en faisant de la sécurité et de la santé des travailleurs présents une priorité centrale. Pour porter cette ambition, nous nous sommes assurés d’avoir un responsable de la sécurité présent sur le chantier dès le premier jour de construction, et nous l’avons intégré durant toute la phase opérationnelle, explique Mauricio Corsi, Responsable sécurité, santé et environnement chez Boortmalt, filiale malt du groupe Axéréal, ce responsable sur place a accompagné la création de se site, en insufflant la culture de la sécurité Boortmalt ». De même, un suivi scrupuleux des mesures de santé et de sécurité en vigueur au sein du groupe, valant à l’échelle internationale, a été instauré. Elles ont été respectées en prenant soin, dans le même temps, de tenir compte des enjeux locaux. L’ensemble des mesures prises nous a permis de construire cette usine sans qu’aucun accident ne soit à déplorer », se satisfait Mauricio Corsi. Désormais opérationnelle, la malterie éthiopienne offre une capacité de tonnes, approvisionnée par des agriculteurs locaux.
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